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Une école ordinaire, pour des êtres hors du commun
 
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 May

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May
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MessageSujet: May   May Icon_minitimeLun 20 Aoû - 10:44

Nom:
Peacock


Prénom:
May


Age: 17 ans et demi


Sexe: Féminin

Statut scolaire:
Etudiante


Description physique:

C'est une jeune femme on ne peut plus banale. Un peu trop
maigre peut être à force de ne pas prendre soin d'elle, elle est toujours vêtue d'un pull un peu trop lâche, d'un jean pas très seyant et de chaussures bas de gamme.
Doucement bouclés, ses cheveux lui donnent un petit air angélique que la pâleur de sa peau accentue. Ses grands yeux fixent tout sans s'attarder sur rien, ne donnant visiblement aucune importance au monde qui
l'entoure. Elle a souvent l'air morne et son regard est terne. Cependant, dès
que l'on parle de bouquins, il s'éclaire avec vivacité.

Son faciès malgré tout est joliment ovale et si elle
s'occupait un peu d'elle, elle pourrait peut être être mignonne. Elle a plus
que souvent un livre sous le bras, et ne parait pas vouloir le lâcher.


Description du caractère:
Ce n'est pas tant qu'elle s'en fiche, enfin si, d'un coté, mais c'est surtout que cela ne l'intéresse pas, c'est donc avec une insouciance d'enfant qu'elle côtoie les gens, oubliant cinquante pour cent du temps ce
qu'on lui demande si cela ne touche pas la lecture. Le regard d'autrui sur elle ne signifie pas grand chose à ses yeux.
Silencieuse donc la plupart du temps, elle s'anime dès qu'on
parle d'un livre autour d'elle et les sentiments qui la traversent sont alors
plus que visibles.
La lecture est une véritable drogue, si elle ne lit pas son quota de livres dans la journée, May est de fort mauvaise humeur et cela se
traduit par une moue qui ne quitte pas ses lèvres. Elle fait peu part de ses
sentiments aux autres et se lie peu, pour ne pas dire pas, au gens, préférant se concentrer à l'objet de son adulation.


Famille:
Aucune.


Don: "Origami" (au toucher seulement)
Niveau 1 : le papier devient très dur ou très mou
Niveau 2 : Il est possible de donner aux papiers de petites
formes (former une rose, un petit ballon, coutelas de cuisine, etc) qui ne
tiennent pas plus de quelques minutes. Le papier possède alors les propriétés
des petits objets.
Niveau 3 : le papier peut adapter des formes plus grandes
(formation d'un bouclier, d'un tabouret, une dague, etc) qui ne tiennent pas
plus d'une heure. Le papier possède alors les propriétés des objets.
Niveau 4 : le papier peut adapter des formes plus grandes
encore (un ballon, un grand meuble, une épée bâtarde, etc) qui ne tiennent pas plus d'une à deux heures. Le papier possède alors les propriétés des objets.
Niveau 5 : il est possible de rendre la transformation du
papier permanente.


Signe spécifique:
Une paire de lunette qu'elle oublie toujours de mettre !


Possessions:
un dictionnaire de langue ancienne
un dictionnaire normal
deux trois livres
des vêtements pour moins d'une semaine


Dernière édition par le Lun 20 Aoû - 13:08, édité 2 fois
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May
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MessageSujet: Re: May   May Icon_minitimeLun 20 Aoû - 10:48

Histoire personnelle:

Avez-vous déjà subi les affres d’un tourment que vous ne pouvez expliquer ? Vous êtes vous déjà regardés dans la glace de votre chambre en vous demandant si un jour vous vous en sortirez et pourquoi tout cela n’arrive qu’à vous ?
Sans doute. Comme tout le monde. Nous avons tous durant cette période qu’est l’adolescence besoin de se remettre en question, et je n’ai pas échappé à la règle lorsque j’ai enfant, malgré tout.

C’est chaque matin, en ouvrant mes yeux, que je voyais défiler ma vie si simple à cet âge là, ma vie d’enfant devenue adolescente presque adulte trop vite, sans que j’ai pu prendre le temps d’y réfléchir.
Ma vie de petite fille, que le Temps a emporté, au dessus de la neige qui recouvrait la petite cité où j’avais fait mes premiers pas. Ma vie de gamine, que j’ai perdu et n’ai jamais véritablement connu.

L’on me nomme May. May Peacock, simple orpheline, dont le nom m’a été donné par cette formidable machine que l’on appelle « l’Etat » ou « le système » et qui m’a prise en charge dès mon plus jeune âge. Mes parents, je ne sais pas qui ils sont, ce qu’ils sont, où ils vivent. Peut être que Maman est celle qui m’a transmis le gène de ce savoir, et Papa son amour pour la lecture, à moins que ce ne soit l’inverse. De qui tiens-je ces cheveux que la femme de ma deuxième famille d’accueil traitait « de couleur d’ange » ? Et ce regard bleu ?
Est-ce que Maman a aussi peu de poitrine que moi, ou bien le galbe de ses cuisses est-il rond, parfait, donnant ainsi aux hommes qui peuvent le mater l’envie de le mordre ? Mes parents sont-ils amoureux ? Comment se sont-ils rencontrés ? Pensent-ils à moi, parfois ?
Je ne peux pas répondre à toutes ces questions. L’on ne me laisse pas accéder aux dossiers qui me permettraient de connaître un peu plus mes géniteurs et cela me pèse.
Ce sont mes parents, même si ils ne m’ont pas élevée, et je voudrais savoir. Je voudrais comprendre pourquoi un homme et une femme se comportent comme des chiens, donnant naissance à une enfant avant de la rejeter. Etais-je si laide à ma naissance ?

Mon plus loin souvenir remonte à ma première famille d’accueil qui me garda –je crois- six ans. Je ne me rappelle de ces deux adultes que leurs pleurs quand je fus emmenée par une femme qui me gava de bonbons pour que je reste tranquille. Etaient-ils doux avec moi ? Je ne le sais plus…
De ma seconde famille, je me souviens d’une madone à qui la vie avait tout offert. La délicieuse maman de cette maison là avait un visage d’un ovale parfait, et les yeux d’un vert éclatant. Toujours très douce, n’élevant que fort peu la voix, elle me faisait penser aux fées de ces contes enfantins, alors que son mari tirait plus du barbare de par sa carrure impressionnante. Ils avaient, en me comptant, la garde de deux enfants et nous distribuaient à tous deux tout leur amour. Je savais qu’en me réveillant, j’aurai le droit à un baiser de la femme qui ne nous obligeait pas à l’appeler maman. Je savais que quand je le voulais, je pouvais lui demander de parler, qu’elle m’écouterait.
Le petit garçon qui était avec moi en ces années de bonheur se nommait Stuart et ses parents avaient été jugés incapables de s’occuper de lui correctement. Comme nulle famille proche ne pouvait le prendre sous son aile, l’effrayant « système » s’était occupé de le replacer dans un foyer. Il vivait déjà depuis deux ans auprès de ce couple tendre, lorsque je vins les déranger.

Ce fut dans ce nid d’amour que je pris conscience de ma plus grande passion : la lecture. Je commençais naturellement comme tout enfant par lire des contes et légendes adaptés, avant de, au fil du temps, mander davantage.
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MessageSujet: Re: May   May Icon_minitimeLun 20 Aoû - 10:49

C’est avec douceur que je songe que notre adorable « Maman » se pliait en deux pour nous. Avec un amour digne d’un lien de sang, elle tint, durant tout le temps où je fus chez elle, à me faire plaisir. Jusque son décès, je crois qu’il ne se passa pas un jour sans que j’aille à la bibliothèque grâce à elle.
Je dévorais les livres, comme « mon frère » mangeait des glaces ou des bonbons. Ma table de chevet ne se départissait jamais d’un roman ou deux à commencer, ainsi que d’un dictionnaire pour les mots que je ne comprenais pas. Mes « nouveaux Pères » n’étaient pas très riches, mais ils m’offrirent pour la date présumée de mon anniversaire et de mes onze ans, un dictionnaire de langue ancienne que je garde encore toujours avec moi.

J’emportais sur le chemin de l’école chaque fois l’un de mes précieux trésors et souvent, je me cognais contre des poteaux en lisant. On réparait le soir en riant mes petites bosses, même si fréquemment Stuart remarquait dans le regard aimant de celle qui s’occupait tant de nous, de l’ inquiétude.
Mon amour pour les livres me séparait des demoiselles de mon âge et de toutes les occupations normalement correctes pour une jeune fille. Je ne jouais pas à la poupée, je n’en n’avais aucune envie, et encore moins à la corde à sauter. Je n’invitais personne à dormir, toutes celles avec qui j’avais pu - jusqu’à ce que l’adulation des livres me prenne- avoir quelques contacts, s’éloignèrent de moi comme si j’étais une pestiférée.

Je me contentais de cette solitude, trouvant dans le silence et les moqueries qui bien vite s’élevèrent dans mon dos, un signe comme quoi j’avais bien fait. Ma passion dévorante était devenue une drogue. Mes notes à l’école baissaient, et souvent sur mes carnets scolaires se lisait la mention « lis en classe à la place d’écouter. ».
Le « père de famille » tenta de m’empêcher de continuer sur cette voie et supprima de ma chambre tous les livres, mais je trouvais bien vite le moyen de passer des heures et des heures à la bibliothèque. Bientôt, tous ceux autour de moi se dirent dépassés.
L’on consulta un psychologue qui ne sut m’aider. « Mère » tomba, alors que j’atteignais mes treize ans, gravement malade, l’on mit donc mon problème de coté, pour se concentrer sur celui-ci.
Une fois encore, la médecine s’avéra impuissante, et Stuart et moi vîmes partir notre délicieuse parente pour un monde meilleur. Je me sentis rejetée, tel un déchet, et ma dépendance aux feuilles de papier imprimées s’accentua.

La dame qui m’avait accompagnée ici à mes six ans revint me chercher. Le Père seul ne pouvait plus s’occuper de nous, m’expliqua t’elle en m’emmenant loin de la petite maison pleine de caresses et de baisers qui toujours se rappelle à moi.
Je fus menée dans un foyer où l’on me laissa en compagnie d’autres enfants dont les âges variaient autant que les couleurs d’un arc-en-ciel.
Il y avait là bas Jeremy, dit Jimmy, un petit garçon de huit ans complètement insouciant ; Khaterine, une fille de mon âge aux goûts complètement différents des miens -Sa tenue était digne d’une de ces donzelles que l’on voit sur les magasines : je la nommais dépravée. – ; ainsi que cinq autres personnes mais aucune d’elle là dedans ne s’appelait Stuart et n’était « mon frère ».

Je partageais une chambre avec Jimmy et Khaterine pendant deux ans, découvrant durant cette période ce que cela signifiait d’être une fille. Mon corps changea alors que je ne lui demandais rien. Ma poitrine grossit et s’arrondit légèrement, mes hanches prirent un peu de volume, mes lèvres devinrent plus fines ; je devenais peu à peu femme. Khaty me prodigua moult conseils que je n’écoutais que d’une oreille peu attentive, préférant puiser dans les bouquins que je pouvais trouver, les savoirs qui me permettraient de comprendre comment je pouvais réagir face à mon « moi physique ».
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MessageSujet: Re: May   May Icon_minitimeLun 20 Aoû - 10:49

L’on me changea bien évidemment d’école quand j’ intégrais l’orphelinat, et au vu de mes résultats, l’on m’envoya dans une classe dite « spécialisée ». Laissez-moi vous décrire ce lieu étrange, où tous les enfants « à problèmes » sont réunis autour d’une professeur qui ne sait comment les gérer :
Vous avez dans un coin les déficients mentaux, ceux comme l’on dit dans le langage courrant, « à qui il manque une case », dans un autre, rangés par ordre alphabétique et par niveau, les garçons et filles handicapés physique et en retard par rapport à leur âge.
Au centre de la classe se trouvent tous les autres. Ceux qu’on ne comprend pas. Ceux qui normalement ne devraient pas être là mais qui y sont parce qu’ils ont un problème que personne ne connaît. Ceux que l’on rejette.
Bizarrement, j’en faisais partie…. Mais j’en fus exclue rapidement.

Je trouvais à la bibliothèque de l’école, abandonné sur une table basse, un livre qui ne vous dira sans doute rien, c’est bien normal, peu de personne l’ont lu, et ceux qui l’ont fait remercient encore le ciel que Paul Claudel n’ait guère écrit de second tome à cet ouvrage pourtant merveilleux qu’est « Le Soulier de Satin ». Après avoir lu la préface, impatiente de le dévorer, j’empruntais ce trésor sans en demander la permission à une bibliothécaire, étant assurée sur le fait qu’on ne me laisserais pas le lire si je le requerrais. On m’avait déjà surprise à lire « Justine » du Marquis de Sade et la réaction du personnel du foyer tout comme des instituteurs m’avait laissé comprendre que je ne devais pas recommencer. Sans doute me jugeaient-ils trop petite pour avoir de telles lectures, et je m’étais retenue de leur avouer que je désirais mettre la main sur « Le Monde de Sophie », un livre dont j’avais vu la brochure sur le bureau d’un professeur et qui m’avait l’air fort intéressant.
Je lis donc en cachette ma trouvaille, ne réagissant pas lorsque la bibliothécaire chercha à grands cris sa lecture du moment sans la retrouver. Je dois vous avouer que je le dévorais, ce soulier de satin et ce bien plus que les écrits de Shakespeare adaptés pour les jeunes âges.
Je fus si emballée par cette Œuvre magistrale que j’en fis un résumé de livre que je rendis à ma maîtresse.
Ce fut à ce moment-là que tout changea véritablement pour « la première fois ».

Sans que je ne demande rien, l’on me fit faire mes valises qui ne comportaient que quelques trésors –mon dictionnaire et quelques linges-, et l’on me trimballa jusque l’autre bout du pays, pour me déposer dans un internat qui m’enchanta.
Là bas, on me laissa accès à une bibliothèque digne de ce nom, me demandant simplement de respecter des horaires de cours aménagés, afin que je puisse avoir une éducation digne de ce nom. Je respectais plus ou moins ce compromis et fit de la salle aux livres ma nouvelle chambre. Lorsque je ratais un cours l’on venait m’y chercher, lorsqu’il fallait que je me nourrisse, l’on venait me déranger, mais jamais sinon, l’on ne s’occupait de moi plus que cela. On me laissait m’instruire à ma manière tant que je venais aux cours, et mes notes le sentirent. Elles augmentèrent légèrement, pour atteindre la moyenne sans pour autant la dépasser –à part quand cela traitait de connaissances que j’avais déjà lu, même si je ne me foulais guère-.

J’atteignis mes seize ans présumés. Puis mes dix-sept ans vinrent, peu à peu, pointer le bout de leur nez.
On me fit réfléchir sur ce que je désirais faire, j’haussais les épaules. Je n’en n’avais pas idée, je voulais juste continuer à lire.
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MessageSujet: Re: May   May Icon_minitimeLun 20 Aoû - 13:07

Ce fut à ce tournant de ma vie que je compris ce dont j’étais capable, peut être à cause de l’angoisse légère que me causait l’idée de devoir vivre par mes propres moyens si je ne trouvais pas de formation à suivre.

Toujours est-il qu’avoir des livres pour oreiller était à l’époque un plaisir dont je ne me serais pas passée… Mais les avoir bien moelleux était tellement plus agréable.
J’en fis le souhait un soir en m’allongeant, baillant, déjà à moitié auprès de celui que la mythologie nomme Morphée. Lorsque mes doigts tâtonnèrent le roman que je lisais alors –Les Mémoires d’Outre Tombe de Chateaubriand, deuxième volume – j’eus la sensation de me retrouver sur un oreiller si tendre…
J’écarquillais les yeux, un peu plus réveillée sur le coup, en me disant que j’avais dû faire tomber le livre de mon matelas mais il était bien là, gondolé comme si il avait pris l‘eau. Je restais interdite quelques minutes, sûre d’être victime d’une illusion, ce qui n’était guère le cas.
A peine eu-je cligné des yeux que je vis l’œuvre redevenir elle-même. Je frottais mes paupières et pestais contre moi même, sure que la fatigue était cause de tout cela. Je m’endormis en effet rapidement, laissant cette expérience de coté.

Je l’oubliais même, mais au bout d’un mois, elle se rappela à mon souvenir.
« Angélique », ces jolis romans à l’eau de rose me firent pleurer comme une madeleine lorsque je les dévorais, et, telle une pluie fine, mes larmes tombèrent sur les pages jaunies par les années. Alors que je tournais une page d’un doigt mouillé, de nouveau, celle-ci se mit à se gondoler. J’étouffais un cri en voyant ce prodigue que je n’avais pas demandé et me levais rapidement, pour chercher un livre parlant de ce genre de choses… Mais il n’y en avait pas, ou peu, la plupart étant de toute manière des bouquins de science fiction

Il y eu par contre plus de choses intéressantes du coté d’internet, cet outil bizarre que j’ eus beaucoup du mal à utiliser. Alors que je fouillais les divers liens que me proposait la toile quand aux faits paranormaux, je tombais sur une brochure d’école dite spéciale, faite pour les surdoués. Je ne compris pas très bien sur l’instant en quoi cette institution pouvait m’aider, mais cela me rappela les conversations que mes professeurs avaient tenté d’avoir avec moi. Il fallait que je continue mes études, pour ne pas me retrouver à la rue, quitte à rater toutes mes années. Je cherchais donc un moyen de m’inscrire à cet endroit qui ne me disait rien, pour régler ce problème là au moins puis continuais mes recherches sans pour autant trouver de réelle réponse...
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MessageSujet: Re: May   May Icon_minitimeLun 20 Aoû - 13:09

Et voilà. Pardon pour le pavé. Smile
J'espère n'avoir rien oublié, et que cela conviendra.
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MessageSujet: Re: May   May Icon_minitimeLun 20 Aoû - 18:45

[Ici on adore lire des pavés

Fiche validée,
Création de la bibliothèque d'Alexandrie, pardon de May
Bon jeu !!!]
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MessageSujet: Re: May   May Icon_minitime

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