Midô Arashi, dit Sid

Citation :

Nom: Midô

Prénom: Arashi

Il avait délibérément écrit son nom en japonais, dans l'espoir d'agacer la secrétaire.

Surnom: Sid

Age: 19

Sexe: Masculin

Statut scolaire: Etudiant

Description physique:
Plus grand que le japonais moyen, il mesure 1m79. Son corps est loin d'être athlétique et il est même plutôt fin, si ce n'est frêle. Il est donc inutile d'espérer trouver des tablettes de chocolat sous ses vêtements. Ses mains sont celles d'un musicien, longues et fines, le bout de ses doigts étant légèrement recouvert de cette corne propre aux guitaristes. Il chausse du.. 43! Autrefois, sa chevelure est passée par toutes les couleurs et coiffures possibles et inimaginables, mais à présent, son visage fermé est entouré d'une longue chevelure noire et épaisse, qui descend jusqu'à ses épaules. Ses yeux sont « bridés » comme le disent les occidentaux, et leur teinte vert de jade se marie gracieusement avec sa peau dont le ton le plus proche pourrait être « caramel clair ». Il n’est pas « expressif », la palette de ses émotions se limite à un mépris silencieux, à une colère froide, et à un sourire narquois ; personne n’a d’ailleurs eu l’occasion de le voir rire depuis des années.

Description du caractère:
Hautain, méprisant, arrogant, suffisant, dédaigneux, froid, insolent et même condescendant, voici les termes qui définissent le mieux le Sid que l’on côtoie au quotidien. Il a toujours été un véritable misanthrope, et les quelques semblants d’amis qu’il a pu fréquenter n’étaient au mieux pour lui qu’un passe-temps, les seuls avec qui ils pouvaient partager sa passion musical et s’adonner à son mode de vie rock’n’roll. Il est réservé et n’a confiance en personne, si ce n’est en lui-même. Débrouillard et indépendant, il estime qu’il n’a besoin de personne, pas même de cette école spécialisée qui prétend pouvoir régler ses soucis. Il n’éprouve aucune compassion pour le genre humain qu’il préfère ignorer, et seule la musique réussit à provoquer une réaction chez lui. D’ailleurs, les seuls êtres humains qu’il apprécie sont ses idoles, qu’il estime être de la même trempe que lui. Inutile de préciser qu’il prétend être supérieur à ses congénères en bien des points, même si dans le fond, il ne s’aime pas plus que les autres, voir même moins qu’eux. Quand on le cherche, on le trouve, et s’il est bien conscient que la violence n’est pas une solution, il n’hésite jamais à se battre pour se défouler.

Histoire personnelle:

Sa vie a commencé dans une famille japonaise typique. Détrompez-vous, pas de kimonos ou de sabre, mais une petite maison de la banlieue de Tokyo, où vivait un père distant et continuellement occupé par son poste de sous-directeur, sa femme qui restait au logis pour s’occuper des tâches ménagères, et leurs deux fils, des jumeaux.

Les deux enfants étaient liés par ce fil invisible qui relie toujours deux jumeaux. Quand l’un deux n’allait pas bien, l’autre le ressentait au plus profond de son corps. Ils passaient leur temps ensemble, coupés du monde, à jouer et parler, l’un étant tout pour l’autre. Ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, et les gens autour d’eux n’auraient pu les reconnaître, si l’un n’était pas toujours plus souriant que l’autre et beaucoup moins.. bizarre.

Si la mère était protectrice et aimante, elle s’effaçait continuellement devant ce père qui ne rêvait que du meilleur pour ses enfants. De grandes études, Todai, leur entrée dans une Zaibatsu. Il fallait qu’ils deviennent des hommes, des vrais, qui sachent se battre et s’imposer.

A leur entrée au collège, ils se démarquèrent l’un de l’autre, et la préférence des parents se révéla instinctivement. L’un deux avait décidé, semblait-il, de suivre la voie tracée par son père. Il s’était inscrit au club de baseball, était devenu délégué de sa classe puis membre du comité des élèves. Elève brillant, sportif, et même drôle, il était rapidement devenu une idole, et les déclarations d’amour se multipliaient dans son casier à chaussure. Son frère passait inaperçu, et personne n’arrivait à croire qu’ils puissent être jumeaux. Continuellement accroché à ses livres, il ne parlait jamais et paraissait isolé du monde. Etrange comme il l’était, il fut rapidement désigné pour devenir victime d’ijime.. Mais l’intervention de son jumeau lors de sa première agression avait dissuadé ses bourreaux de le toucher à nouveau. Il ne travaillait pas à l’école, et était toujours dans la lune et prêt à sécher à la moindre occasion pour aller faire la sieste au bord du fleuve. Il devint le vilain petit canard de la famille, et subit les reproches de ses parents, à tel point qu’il en oublia ce qu’avait été leur affection.

La différence des deux frères ne les gênait pas, ils s’aimaient tout simplement. L’aîné prenait soin de son petit frère rêveur et les années s’écoulaient paisiblement.

Ce n’est que lors de leur entrée au lycée qu’il y eut une véritable cassure. L’élève prodige entra dans un des meilleurs lycée de la ville, tandis que le rêveur se dirigeait dans un lycée médiocre, réservé aux plus mauvais élèves et aux délinquants.. A cette époque-là déjà, leurs parents ne s’adressaient plus qu’à leur fils favori, ignorant celui qui amenait la honte sur leur demeure. Les seuls mots que le père adressait à son cadet étaient des critiques acerbes et des insultes.

Seul, il avait dû s’adapter à son nouvel environnement. Il ne quittait toujours pas ses livres, et s’attaquait maintenant à des lectures philosophiques étonnantes pour son âge, ce lui valut de recevoir quelques bien mauvais coups de la part de ses camarades de classe. Résigné, il espérait que ses années lycées passeraient sans autres encombres que ces quelques blessures, tout en continuant à sécher au bord de l’eau.

De son côté, l’aîné continuait son parcours, occupé par ses cours du soir et ses rencontres sportives. Toujours aussi enthousiaste et sociable, son cercle d’amis s’agrandissait de jour en jour, tandis que sa popularité grimpait en flèche. Il n’avait même plus le temps de veiller sur son petit frère.

Peu à peu, le fil se dénouait.. Si dans son coin le plus jeune souhaitait la réussite de son aîné, ce dernier semblait ne pas faire grand cas de son sort…

Et puis le jour arriva où, magie de la puberté oblige, le petit cadet se métamorphosa. Las de sa vie à la maison, il errait dans la ville sans but, observant avec curiosité la vie des gens autour de lui. Déjà à cette époque, il ne comprenait pas cette foule anonyme, effervescente et pourtant si triste, au-dessus de laquelle il songeait déjà à se placer..

Par une belle nuit d’hiver, il passa devant un magasin de musique à Ikebukuro. A l’intérieur, un punk décoloré faisait hurler sa guitare. Le jeune homme se sentit comme transcendé, et eut un véritable déclic : lui aussi voulait faire ça. Il resta devant cette vitrine pendant des heures et des heures, jusqu’à attirer l’attention du gérant. L’homme, un rockeur aux longs cheveux gras, taquina l’étudiant pâle à la dégaine misérable, mais tout ce que le petit lui répondit fut :

- Monsieur, apprenez-moi ! J’veux jouer de la guitare !


Quelques rires et promesses plus tard, le rockeur attendrit apprenait à son poulain quelques accords simplistes, pour lesquels le garçon révéla une habileté incroyable… Il avait alors 16 ans.

Les évènements s’enchaînèrent ensuite à une vitesse incroyable. Il répétait sans cesse, ne se présentant en cours qu’à de rares occasion, avide de musique et de sensations. La guitare et la musique le transformaient. Les livres étaient remplacés par des cds et son talent de musicien lui permit d’intégrer un groupe de punk déjà connu des scènes underground. Son tempérament jusqu’à lors renfermé s’enflamma ! Il n’hésitait plus à répondre aux coups qu’on lui donnait à son lycée, et de souffre-douleur il devint rapidement leader. Plutôt que de garder son look de petit garçon coincé, il se colora les cheveux en rouge, puis en bleu et rose en passant par bien d’autres gammes de couleur. Les piercings se mirent à fleurir sur son visage, alors qu’il adoptait des tenues en cuirs accompagnés de doc martens. Il se mit à fumer des cigarettes, et savoura ses premières cuites. Il fit l’amour avec une fille, puis une autre, et encore une autre. Une vie d’ado somme toute assez palpitante, sans pour autant qu’elle soit bien méchante..

Rapidement, ses compagnons lui trouvèrent un pseudonyme. Il s’appellerait Sid, en référence à cette icône punk des années 70 qui avait vécu à toute vitesse avant de s’éteindre à 21 ans.

Il avait l’impression d’avoir dormi toute sa vie, et de se réveiller, enfin. Le petit garçon prenait l’ampleur qu’il avait toujours méritée. Son égo étendait ses ailes, et l’opinion qu’il avait de lui s’améliorait de jour en jour. Il était invincible, tous le respectaient et rien ne pouvait l’arrêter dans sa course folle.

Il n’en avait plus rien à faire de sa famille, il manquait de respect à sa mère, et hurlait aussi fort que son père lorsqu’il l’engueulait. Son frère lui, était impassible. Il vivait sa vie à part, loin des frivolités de son cadet, et rien ne m’était plus Sid hors de lui..

Cette distance, cette indifférence, ça le rendait malade. Il avait l’impression que son frère se croyait supérieur à lui, qu’il le méprisait, qu’il avait même honte de lui. Ils ne se parlaient plus, n’avaient définitivement plus rien à voir l’un avec l’autre.

Un jour, alors que Sid passait devant le lycée de son aîné, il l’aperçut entouré de son cercle d’amis. Il riait, il faisait le pitre, il embrassait même une jolie jeune fille. Il ressemblait tant à ce qu’il était dans son enfance..

Il fut envahit par une amertume et une tristesse sans fin.. Il avait l’impression d’avoir été abandonné par sa moitié, laissé en arrière, et il lui en voulait, et il lui manquait. Pourquoi est-ce qu’il ne faisait plus attention à lui alors qu’il se mettait lui aussi à briller ?

Il se mit à le haïr, pour sa conduite parfaite, pour sa popularité et son succès, pour son mépris, pour tout.

Il s’éloignait chaque jour un peu plus de chez lui, jusqu’à ce jour fatidique où il prit la résolution de partir définitivement, poussé par son père qui avait décidé de le renier. Il saisit ses affaires, aveuglé par la colère et la douleur, frustré et fou furieux. Ils ne l’avaient jamais aimé, ils s’en fichaient bien de savoir ce qui pourrait lui arriver : telles étaient les pensées qui traversaient son esprit enragé.

Il s’éloigna à grand pas de sa maison, jusqu’à arriver dans ce petit parc où il venait se réfugier avec son frère étant enfant. Là, il entendit une voix derrière lui, sa voix :

- Arashi ! Attend-moi !

Qu’est-ce que ce traître pouvait bien lui vouloir ? Il était trop tard.

La suite des évènements resta floue dans son esprit. Une dispute, des larmes, leurs corps qui s’enlaçaientt et ces hurlements. Ces hurlements de douleur qui aujourd’hui encore résonnent dans son esprit jour et nuit. Ce liquide poisseux qui s’échappait de sa peau en mortelles vagues. Ses vêtements déchirés, cette peur qui s’était insinuée en lui, et cette incompréhension. Le visage de son frère déformé par la douleur, son corps sans vie, rongé. La mort, sa fuite, sa solitude.

Citation :

Les mois qui suivirent se résumèrent en quelques souvenirs brumeux. Un sombre bâtiment, une bande de junkies, de la drogue encore et toujours plus puissante, pour oublier. Pas le temps de réfléchir à ses actes, sa guitare, la débauche, des bagarres, ces vives douleurs à la tête qui revenaient régulièrement. Un de ses compagnons qui lui annonçait un jour en rigolant que la dope le faisait délirer à tel point qu’il se prenait pour un autre, un étudiant mielleux dont le caractère était bien plus supportable que le sien...

Sa main qui heurtait son visage. De nouveaux cris, insupportables, et ce visage, décomposé. A nouveau la peur, mais celle des autres cette fois. Bientôt, il fut seul, douloureusement en manque. Il se résigna à chercher sa came à l’extérieur. Erreur. Une descente. Les sirènes, les coups, la maison d’arrêt.

Après quelques semaines de désintoxication, il fut placé dans un centre pour délinquant. Les autres l’évitaient, il était presque morbide. Ses parents ne voulaient pas le voir. Un sentiment désagréable le saisissait sans arrêt. Il étouffait. Et ce mal de crâne persistant, cette douleur si vive qu’elle lui faisait perdre la mémoire ! Des trous noirs.

Les autres détenus prétendaient qu’il était capable de faire fondre les objets, que c’était un monstre. Les gardiens l’évitaient aux aussi soigneusement.

Enfin, on lui présenta un psy. Il refusa de lui fournir des médocs malgré ses suppliques, et ses menaces. Il le regarda souffrir, culpabiliser. Sid se dévoila, enfin, désespéré. Un constat s’imposa : il était atteint de schizophrénie.. Le paroxysme de son mal de tête et les trous noirs annonçaient simplement son changement de personnalité.

Il avait refoulé la mort de son frère, il refusait de l’admettre. C’en était trop pour lui, il se croyait fou.

Il voulut mettre fin à ses jours. Impossible, à chaque tentative, il perdait le contrôle de son corps avant d’arriver au bout de l’acte. Etait-ce une punition de son frère ? N’avait-il donc pas envie qu’il le rejoigne dans l’au-delà ? Le condamnait-il ainsi à supporter son fardeau ?

Il reprit la lecture, la guitare. Ses conversations avec le thérapeute lui donnaient l’impression d’aller mieux. Il reprenait confiance en lui, méprisait à nouveau les autres. Il voulait toujours oublier cette chose, ce liquide..

Impossible, il était là, sécrété par cette maudite peau, destructeur. Non, il voulait se persuader qu’il ne s’agissait que de vagues délires..

Il se décida à en parler à son psy, aucune réponse. Le lendemain, il lui expliqua très sérieusement que ce pouvoir n’était pas sorti de son esprit, que son corps pouvait effectivement produire des acides, que c’était un mutant. Il éclata de rire, voilà qu’il avait réussit à rendre son propre psy complètement dingue ! Non, le vieil homme alluma sa cigarette avec le bout de son pouce, duquel s’échappa une flammèche.. Il écouta, sonné.

En France, il existait une école spécialisée pour les gens comme lui, la X-school. Sa directrice était connue comme l’une des mutantes les plus puissantes qui soit.

Il refusait de l’admettre. Il cessa de voir son psy. Il s’enferma, lu encore et toujours, mais lorsque son esprit n’avait pas d’occupation, il s’interrogeait. Et s’il était bel et bien un mutant ? Il finirait par sortir d’ici, de cet isolement, et là, qui sait de quoi il serait capable. Il était rongé par ses questions. Il voulait voir cette femme si forte, cette école. Il voulait contrôler son pouvoir, il voulait pouvoir se faire pardonner, trouver sa rédemption. Sa curiosité le poussa à apprendre le français..

Finalement, après quelques longues secondes de torture, il se décida. Il retourna voir le médecin, et lui annonça qu’il était prêt à partir. Ce dernier avait réglé les détails administratifs, sa peine pourrait être purgée là-bas. Il ne le remercia pas, mais l’homme savait qu’il lui était reconnaissant.

Un avion et un taxi plus tard, et voilà le japonais tourmenté à la X-school !

Citation :

Famille: Des parents qui ont préféré l'oublier, et un frère jumeau décédé, Shûichi.. ^^

Don:

Niveau 1 : Ses mains sécrètent un acide qui ronge ce qu’il touche dans une certaine limite, selon les matières..

Niveau 2 : Son corps se couvre d’une couche de cet acide, ce qu’il ne peut pas contrôler, et la sécrétion de ses mains devient un peu plus puissante.. Attention à l’état de ses vêtements !

Niveau 3 : Il réussit à contrôler son acide, à décider s’il sera plus ou moins corrosif selon ses besoins.

Niveau 4 : Il contrôle la quantité de liquide produit par son corps et ses mains, et peut même aller jusqu’à sécréter une mare d’acide.. (non quand même pas un lac ou un océan XD)

Niveau 5 : Son acide lui permet de transpercer n’importe quelle matière, et Sid peut le contrôler afin de décider s’il rongera l’élément sur lequel il se trouve jusqu’à le dévorer, ou bien s’il doit se stopper.

[HRP]Voilà heu je savais pas trop comment m’y prendre pour les niveaux, alors si ça va pas, éclairez-moi !

Je pensais expliquer (plus tard ) le fait qu’il ait tuer son frère en expliquant qu’il était sous le coup d’une très très forte émotion, que son pouvoir se révélait pour la première fois et qu’il n’a pas réussit à se contrôler..[/HRP]

Citation :

Signe spécifique:
S'il a retiré quelques uns des piercings qui ornaient ses lèvres ou son arcade gauche, il lui en reste quatre sur l'oreille droite, et trois sur l'oreille gauche, sans oublier celui qui est là pour le plaisir de ces dames, sur sa langue. Sur son omoplate droite est tatouée une tête de mort version drapeau pirate, dont l’un des yeux est caché par « cache-œil » (un truc de pirate quoi ^^) et qui mesure environ 8 cm de large.

Possessions:
Des cds, des livres, des cds, des livres, oh tiens étrange, un caleçon, et même quelques vêtements de rechange. Une cartouche de clopes qu'il a acheté à l'aéroport, des médiators et un lecteur de cd accompagné de deux petites enceintes. Sa Gibson Lespaul, de couleur rouge sang (oui oui une vraie, allez savoir comment il ce l'est procurée..) et son ampli cube30. Méfiez-vous, le son est assez puissant..

Une fois cet exercice fastidieux terminé, Sid déposa son formulaire, et saisit la clef qui se trouvait à présent sur le bureau. Sans accorder un mot de plus à la secrétaire, il se dirigea vers le plan de l’école afin de trouver la chambre qui lui avait été accordée, la numéro 9.

Chargé il avança lentement dans les couloirs, avec une seule idée en tête, s’allonger sur son lit, fumer une clope, et faire un somme bien mérité.. Il n’était pas pressé d’affronter tous les monstres dont devait regorger cette école, et rechignait plus que jamais à adresser la parole à qui que ce soit.

[HRP]Bon bah voilà j’espère que ça ira ! Pour le passage un peu rapide de la mort de son frère, je pensais que mon petit Sid pourrait l’expliquer plus tard (ça aussi oui) par une série de flash-back... Pour la langue, il maîtrise légèrement le français et continue à l’apprendre ! De toute façon.. il ne parle pas beaucoup ^^

Au fait.. je viens de galérer comme une malade pour la mise en page.. pleins d'espaces se sont rajoutés, et puis les trucs Help! ^^ [/HRP]

[Je me suis permis d'éditer tes posts pour modifier tes soucis de mise en page. Une telle oeuvre ne pouvait souffrir d'aucune imperfection...
Pour ce qui est des problèmes de mise en page, effectivement ça arrive depuis un moment mais je pense avoir résolu le problème. A vérifier.

Sinon c'est parfait, l'accès bref au deuxième niveau est totalement acceptable, rien à enlever ni a ajouter. Les niveaux conviennent.

En bref :